(50×50)
Oiseau de feu
Très précieux
Dans les cieux
Trois glaciers dorés.
En pâte à papier.
Rêvaient de flâner.
(60×80)
Elles étaient toutes trois.
Balade dans les bois.
Et ont trouvé trois rois.
(D:50)
Effilés. Effrités. Effilochés.
(80×80)
Le petit garçon rayonnait car tous les minuscules habitants du lieu magique avaient besoin de son aide.
Dans notre igloo nous sommes cachés de tous ces humains qui convoitent nos richesses.
(40×40)
Aujourd’hui est trop joli.
Vous êtes tous autour et mon cœur déborde.
(150×100)
Tu oublies.
Tes rondes et tes blanches ne sont plus complices.
Mais tu chantes la musique de mon cœur.
(80×120)
Nous sommes toutes venues.
De tous les coins du monde.
Pour vous emmener là-bas.
Il attend, les bras ballants.Longtemps.
Figé. Le regard vide.
Elles apparaissent enfin,douces et délicates,
nimbées de l’aura bleutée du souvenir.
(30×24)
Je t’écris ces mots entre la terre et le ciel tandis que brûle le soleil.
Les petites lucioles rouges veillent, cachées sous la peau de la mer.
Tachetées
Attachées
Entachées
Détachées.
(70×50)
Elle est là.
Elle ne sait pas.
Si elle avance un peu,
elle l’entraîne dans sa chute.
(40 x 40)
Ne vous éloignez pas
Restez tout près de moi
On rentre à la maison.
Nous filons dans le vent
toutes voiles dehors
et nous découvrons,
à quelques encablures,
ces fleurs qui nous regardent.
(70 x 50)
Il tombe à l’envers
Dans cet univers
Qu’il a découvert
Très loin de l’enfer.
Me voici dans une nouvelle peau de Lou pour vous faire sourire.
(50 x 25)
Je mets le silence
(150 x 150)
Elle disait :
« J’ai un p’tit manège dans la tête. »
Et elle faisait pétiller ses yeux en riant.
(40 x 120)
Maudit ce sort.
Qui jette dehors.
Ton cœur en or.
(50 x 70)
Le sang du pin
S’écoule sans fin
Parfum divin
Gemme d’Aladin.
(50 x 50)
Vite ! Dépêchez vous !
Plus vite! On se secoue!
On ne traîne pas surtout
On se retrouve au bout.
Vous ne m’aimez plus
Mes mots vous ont déplu
Ma mémoire de glue
A laissé dans la rue
Mon cœur tout vermoulu.
Trois paluds écoutaient
Le vent qui tournoyait
S’élançait et dansait
Autour du sel de lait
Guérandais…Guérandais…
(80 x 60)
Des couleurs dévoilées
Élégantes et ailées
Voient toutes étonnées
Leurs teintes s’échapper
Donné pour toujours
Cet indicible amour
Est là tout autour
Même si dans les tours
Vous criez « au-secours »
On se cache
On s’arrache
Sans attache
On décolle
On s’envole
Longtemps j’ai attendu
L’or et la lumière
Et puis tu es venu
Éclairer mon enfer
Très vite
Encore plus vite
Beaucoup trop vite
Fibre fibre
Laisse nous libres.
Musique de vie
Parfait accord
Diego écrit
Les notes en or.
Près du versant
Les mots d’avant
Los Gigantes
De ma jeunesse
(80 x 65)
Vogue, vogue, coque en or
Mousse d’écume aux flots d’or
Jolie voile pétillante
Aux reflets de l’attente.